mercredi 28 novembre 2007

Grosseto

Grosseto, petite ville à l’intérieur des terres, inconnue jusqu’à ce jour, à 70 km de Piombino, l’étape d’hier. Et à 180 km de Rome. En principe, il ne reste plus que deux jours de route.

Beau temps. Chaleur. Gaston a roulé les mollets à l’air et pique-niqué à midi avec ses provisions de route: le saucisson de Damien et les friandises de qui vous savez.

Très beaux paysages de campagne de Toscane.

Fermez les yeux et vous verrez des vignes, des cyprès, des pins. On coupe des branches que les gens vont ramasser. L’air est presque tiède et odorant, mais le vent, dans le nez. Ça ralentit la moyenne.

Les pins ont 5 aiguilles, comme les pins blancs du Québec.

Très beau centre ville qui respire l’art et la prospérité.

Nuitée à l’Albergo Maremma.

Retour sur Piombino

Petite ville à la fois touristique et industrielle.
Port d’embarquement pour les îles de Toscane (Elbe et les autres).
Il y a du plomb qu’on extrait depuis les Étrusques (qui occupaient l’Italie avant les Romains). On en a fait des pièces, des petits plombs, des piombinos, qui servaient de monnaie de péage pour aller à l’île d’Elbe. On y fabrique encore des rails de chemin de fer.

Gaston cherche le meilleur moyen d’aller à Rome en vélo car la via Aurélia, qu’il suit depuis San Remo, devient une autoroute. Il s’est donc pourvu d’une carte ad hoc.

Il embrasse toutes et tous celles et ceux qui le suivent sur le blog.

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